Une dynastie du cinéma et de l’industrie
Léa Seydoux est issue d’une famille au patrimoine considérable. Son grand-père, Jérôme Seydoux, est une figure majeure du septième art. PDG de Pathé, il a contribué à faire de cette entreprise un pilier du cinéma français et européen. Son oncle, Nicolas Seydoux, préside Gaumont, autre mastodonte de l’industrie cinématographique. Son père, Henri Seydoux, est le fondateur de Parrot, une entreprise innovante spécialisée dans les technologies sans fil et les drones.
Côté maternel, sa mère, Valérie Schlumberger, est issue de la famille Schlumberger, qui a fait fortune dans l’industrie pétrolière. Cet héritage fait de Léa Seydoux l’une des personnalités les plus fortunées du monde du cinéma français.
Bien qu’elle ait grandi dans un environnement privilégié, Léa Seydoux affirme s’être imposée à force de travail. Sa carrière a commencé dans le cinéma d’auteur avant de s’ouvrir aux blockbusters internationaux. Elle s’est notamment illustrée dans « La Vie d’Adèle », récompensée par la Palme d’or, et dans la franchise James Bond, où elle incarne Madeleine Swann dans « Spectre » et « Mourir peut attendre ».
La fortune des Seydoux est estimée à plusieurs centaines de millions d’euros, principalement investie dans le cinéma, l’immobilier et l’industrie. Jérôme Seydoux possède des parts majoritaires dans Pathé et a bâti un empire dans la production et la distribution cinématographique.
Léa Seydoux, quant à elle, tire ses revenus de ses cachets d’actrice, de ses contrats publicitaires avec des marques prestigieuses comme Louis Vuitton, et de ses investissements personnels. Elle a notamment exigé des conditions de tournage spécifiques lors de la production de « La Belle et la Bête », prouvant son statut d’actrice influente et reconnue.
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