Une croissance fulgurante du marché
Des prévisions qui donnent le vertige
- 187 milliards de dollars : c’est la valeur projetée du marché No-Code d’ici 2030.
- 31 % : taux de croissance annuel moyen estimé pour ce secteur.
- 65 % des applis d’entreprise seront développées en No-Code d’ici fin 2025.
- 36,4 milliards de dollars de chiffre attendu pour 2027 (contre 7,6 Mds en 2021).
Des outils toujours plus populaires
- 500 millions d’applications devraient être créées via des outils No-Code dans les prochaines années.
- +50 % d’augmentation des recherches sur « no-code platform » depuis 2020.
Une adoption massive en entreprise
Pourquoi les boîtes s’y mettent ?
- 84 % des entreprises choisissent le No-Code pour son agilité.
- 76 % pour la rapidité et la flexibilité dans les projets digitaux.
- 65 % l’utilisent pour pallier le manque de développeurs.
- 60 % des apps sur mesure seront créées en dehors de l’IT dès cette année.
Les dirigeants valident
- 92 % des responsables IT voient le No-Code comme clé pour l’agilité digitale.
- 80 % pensent que ces outils donnent plus de pouvoir aux équipes non techniques.
Productivité boostée
Des gains impressionnants
- 90 % de réduction du temps de développement observée en moyenne.
- 10 fois plus rapide qu’un projet classique codé à la main.
- 60 % de gain sur le temps de livraison d’une application métier.
- 70 % de ressources économisées par rapport à une stack traditionnelle.
Un retour sur investissement puissant
L’argument choc pour les financiers
- 362 % de retour sur investissement (ROI) grâce aux plateformes No-Code.
- 70 % d’économies sur les frais de développement.
- 80 % de baisse des coûts de maintenance sur le long terme.
- Jusqu’à 1,7 million de dollars économisés par an selon certaines entreprises.
Le ressenti des professionnels
Un changement de mentalité en cours
- 85 % des entreprises affirment que le No-Code améliore l’expérience client.
- 90 % des pros IT jugent le No-Code plus aligné avec les besoins business.
- 64 % pensent que le No-Code dominera le dev d’ici 2030.
Les cas d’usage les plus fréquents
Des outils polyvalents
- 81 % : automatisation des workflows.
- 62 % : création d’applications orientées client.
- 58 % : dashboards et data visualisation.
- 46 % : automatisation des process internes.
Les défis du No-Code
Ce qui reste à améliorer
- 75 % des DSI évoquent la sécurité comme point de vigilance principal.
- 68 % rencontrent des difficultés d’intégration avec leurs systèmes existants.
- 48 % des développeurs ont peur pour leur métier.
- 47 % doutent de la scalabilité des applis No-Code.
Les citizen developers changent le game
Vers une démocratisation totale
- 4:1 : ratio prévu entre citoyens développeurs et devs pros dès cette année.
- 80 % des produits tech seront réalisés par des non-développeurs d’ici peu.
- 41 % des boîtes ont déjà lancé une initiative « citizen dev ».
- 60 % des apps sur mesure déjà créées hors IT en 2022.
Le rôle des startups et du financement
Moins de levées, plus de contrôle
- 80 % des fondateurs misent sur le bootstrapping grâce au No-Code.
- Seulement 13 % cherchent des fonds venture.
- 5,5 millions de créations d’entreprises enregistrées en 2023.
- 50 milliards levés par les startups IA la même année.
Ce que les utilisateurs attendent vraiment
Les critères qui comptent
- 4,39/5 : note moyenne donnée à la performance technique.
- 4,38/5 : personnalisation.
- 4,34/5 : intégration avec d’autres outils.
- 4,30/5 : accès gratuit ou freemium.
- 4,15/5 : rapport qualité/prix.
Qui sont les utilisateurs No-Code ?
Des profils variés
- 58,8 % sont des fondateurs ou dirigeants.
- 26 % sont des freelances techniques.
- 17 % bossent dans des agences web.
- 23 % font du No-Code pour le fun ou en side project.
« Le No-Code est en train de devenir ce que Photoshop a été pour le design : un outil qui rend accessible la création à toute une génération. » — Anonyme, maker convaincu