La carrière de Maeva Ghennam, rendue célèbre par sa participation à l’émission Les Marseillais : Australia en 2018, a été jalonnée de succès, de controverses et de rebondissements. Connue pour son tempérament explosif et son franc-parler, Maeva a rapidement captivé le public par ses aventures tumultueuses, notamment sa relation avec Greg Yega, un autre participant de l’émission. Cependant, ces derniers temps, c’est pour des raisons bien moins positives qu’elle fait la une des médias.
Devenue une figure emblématique de la télé-réalité française, Maeva Ghennam a su utiliser sa notoriété pour diversifier ses activités. Elle a lancé sa marque de cosmétiques, Maeva Ghennam Beauty, et a animé une émission sur 6Play, Dressing VIP by Maeva, qui a rencontré un certain succès. Ces initiatives lui ont permis de construire une solide base de plus de trois millions d’abonnés sur les réseaux sociaux.
Pourtant, Maeva n’a jamais échappé aux polémiques. Elle a souvent été critiquée pour ses déclarations et ses actions provocantes, comme lorsqu’elle a révélé avoir fait des interventions chirurgicales pour rajeunir ses parties intimes. Ces moments controversés ont souvent attiré l’attention du public, générant un mélange de fascination et de critiques acerbes.
Récemment, Maeva s’est retrouvée au cœur d’une nouvelle controverse, cette fois-ci en raison de son conflit avec Magali Berdah, patronne de l’agence Shauna Events. Les deux femmes, autrefois amies, se sont disputées publiquement sur les réseaux sociaux, avec des échanges particulièrement violents. Magali Berdah a même publié des messages privés où Maeva proférait des menaces de violence. Ce conflit a eu des répercussions importantes, notamment en isolant Maeva de certaines de ses anciennes alliées dans le milieu des influenceurs.
C’est dans ce contexte déjà tendu que Maeva a été informée qu’elle ne pourrait plus se rendre en Algérie. Ce bannissement est lié à son séjour en Israël, un pays qui entretient des relations compliquées avec l’Algérie. Bien qu’elle ait été assurée que son passeport ne serait pas tamponné, l’information a été rapportée aux autorités algériennes, ce qui a mené à son interdiction d’entrée.
Je suis en stress, j’ai fait la demande de visa et j’attends la réponse. Mais la vérité, j’ai trop peur. J’ai fait l’erreur de ma vie, d’avoir été là-bas, c’est le plus gros regret de ma vie (…) Elle m’avait dit ‘c’est sûr, tu peux y aller’, elle m’a menti, je lui ai fait confiance (…) Mais je regrette.
Cette interdiction de séjour en Algérie a profondément affecté Maeva Ghennam, qui considère ce pays comme une partie intégrante de son identité. Désemparée, elle a exprimé son désespoir dans une vidéo, révélant sa frustration et sa tristesse face à la situation. Elle a également annoncé qu’elle envisageait de quitter temporairement les réseaux sociaux, citant une détresse émotionnelle intense.
Je suis clairement en dépression, ça ne va pas, je ne peux pas rentrer en Algérie. C’est une erreur que je regrette. On m’avait juré quand je suis allée en Israël qu’après je pourrais aller en Algérie car ils ne tamponnent plus le passeport. Malheureusement, moi, je suis contenue. Tous les gens, mes haters, ont appelé l’ambassade, toute l’extrême droite, c’est mise contre moi. Ils ont harcelé l’ambassade (…) Je n’ai plus de force, je crois que je fais vraiment une dépression.
