L’affaire trouve son origine dans une plainte déposée par son ex-femme, de nationalité franco-algérienne, qui accuse l’artiste de ne pas s’acquitter de la pension alimentaire de leurs enfants. Selon des sources judiciaires, une décision de justice en France a déjà contraint Faudel à verser des arriérés, mais cette condamnation n’a pas été appliquée au Maroc.
Désireuse de faire valoir ses droits, l’ex-femme du chanteur a engagé une procédure devant la justice marocaine, puisque Faudel réside à Marrakech avec sa nouvelle compagne et ses enfants.
Le procureur du Roi a ordonné l’ouverture d’une enquête préliminaire afin d’examiner les accusations portées contre Faudel. L’artiste, bien que poursuivi, reste en liberté en attendant l’examen du dossier.
Pour garantir le versement des sommes réclamées, l’avocat de son ex-femme a pris des mesures légales et a obtenu une saisie conservatoire de la villa du chanteur. Cette action vise à empêcher toute tentative de transfert de biens avant la résolution de l’affaire.
Initialement prévu ce 7 février, le procès a été reporté au 7 mars. Ce délai supplémentaire permettra aux deux parties de préparer leurs arguments et aux autorités judiciaires de poursuivre l’examen des éléments du dossier.
L’affaire continue donc de faire parler d’elle, et le verdict qui sera rendu en mars déterminera l’issue de ce contentieux entre Faudel et son ex-femme. D’ici là, le chanteur reste sous le coup d’une procédure qui pourrait impacter son image publique et sa carrière.
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