Études

Hard skills, soft skills & mad skills

Mais qu’est-ce que les sont les hard, soft et mad skills ? Il s’agit de compétences « branchées » qui permettent aux recruteurs d’évaluer une personne. Pour obtenir un emploi, il est important de savoir de quoi il s’agit pour les mettre en valeur ! La première reste factuelle, la seconde fait appel à notre capacité d’adaptation et la troisième permettra de savoir quel type de génie vous êtes, cela basé sur les activités que vous aimez faire.

Savoir-faire ou hard skills ?

Ce sont les compétences qui sont le plus valorisées sur le CV, celles qui sont évaluées par les recruteurs en entretien d’embauche. Nous pouvons parler ici des compétences techniques qui sont requises pour un poste, celles que l’on apprend à l’école et que l’on apprend au fur et à mesure des expériences professionnelles.
Jusqu’à peu, les hard skills étaient les plus identifiables et mesurables.

Savoir-être ou soft skills ?

Aujourd’hui, il est souvent question du travail en équipe, de notre capacité d’adaptation à son environnement de travail, de communication interpersonnelle, de résistance au stress etc. Les managers doivent avoir des compétences qui permettent de bien s’intégrer dans une entreprise tout en contribuant à l’évolution collective qui font appel à l’intelligence relationnelle et émotionnelle. Dans ce cas là, rappeler à son salarié les objectifs à atteindre, les missions à effectuer et la culture de l’entreprise elle-même permet de l’intégrer davantage dans une équipe.

On peut parler de nouvelles formes d’intelligence qui sont mesurées grâce au quotient émotionnel (QE) et qui permettent d’évaluer l’exactitude du choix d’un candidat sur un poste donné.

D’après Re.sources, le DataLab de l’emploi de Randstad, la résolution de problèmes complexes, la pensée critique, la créativité, la gestion des équipes mais aussi la coordination arrivent en tête des soft skills à posséder. Des qualités qui garantissent une meilleure productivité.

Savoir-devenir, « compétences folles » ou mad skills ?

On parle ici des compétences qui mettent en avant les aptitudes que l’on a dans la pratique d’un sport ou d’un hobby et qui peuvent être une vraie valeur ajoutée au travail.

Prenons quelques exemples : le candidat pratiquant les arts martiaux, permettra de mettre en avant un tempérament de fonceur mais également des valeurs morales comme le respect, la modestie ou le courage. Un vrai plus dans le management de transition, la gestion d’opérations en flux tendu.

Un autre appréciant la contemplation, laissera sous-entendre les sens de la patience, de calme et d’attention, ce qui est également signe de sagesse. Des qualités requises pour des activités d’une grande précision, ou pour le management.

Compétences ou personnalité ?

Il n’est plus à démontrer que sa personnalité est un vrai plus pour le candidat mais aussi pour l’entreprise. Montrer que l’on est en phase avec la philosophie de l’entreprise et sur un poste, en sachant mettre en avant celle-ci, est un plus qui interpellera les recruteurs.

Pour une entreprise, il peut être difficile de miser sur la personnalité plus que sur les compétences. Car seul le candidat en faisant preuve d’habileté pourra rebondir et la transformer en atout s’il n’a pas toutes les compétences requises.

Avec une forte capacité d’apprentissage et de compréhension, il est possible de pallier le manque de compétences et garantir une adaptabilité.