Le père de Dylan Thiry propose de trouver l’amour pour 25€

Pascal Thiry, le père de l’influenceur Dylan Thiry, fait à nouveau parler de lui. Contre 25 euros, il promet d’aider ses abonnés à trouver leur moitié… et évidemment, Internet n’a pas tardé à réagir.
pascal thiry amour

Un projet setimental qui divise les réseaux

Sur ses comptes très suivis, Pascal Thiry a annoncé un service inédit : il propose de publier une photo d’une personne célibataire accompagnée d’une description, en échange d’un paiement. L’objectif ? Aider à trouver l’amour grâce à sa visibilité.

Cette initiative, présentée comme une solution face à la solitude, ressemble à une plateforme de rencontres version Instagram. Mais au lieu de swiper, les intéressés doivent simplement payer pour être mis en avant.

25 euros pour une chance en amour

Le concept est simple : une photo, une légende personnalisée, et 25 euros par publication. Selon lui, il aurait déjà reçu un nombre impressionnant de demandes après avoir proposé à des femmes de postuler pour devenir la compagne de son fils.

« J’ai eu deux millions de demandes », déclare-t-il. « Les femmes veulent un homme bien, moi je leur en propose ».

Un discours qui interroge, mais qui semble séduire quelques internautes curieux.

Bastos répond avec humour (et piquant)

Sans surprise, certains influenceurs ont sauté sur l’occasion pour réagir. Bastos, connu pour ses vidéos pleines de sarcasme, a rapidement tourné le projet en dérision. Pour lui, il s’agit clairement d’une arnaque déguisée.

Si tu penses payer 25 balles pour trouver l’amour, appelle-moi. J’aimerais t’interviewer pour comprendre comment fonctionne la bêtise humaine.

Opportunisme ou débrouille ?

Pour Pascal Thiry, il n’y a rien de mal dans sa démarche. Il parle d’opportunisme, pas d’arnaque.

J’offre un service, libre à chacun d’y croire.

Une vision du business assumée, même si elle dérange.

Une chose est sûre : le père et le fils partagent un certain talent pour faire parler d’eux. Et avec ce nouveau concept de “rencontres payantes”, le débat sur les limites de l’influence ne fait que recommencer.

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