Léa Chabrel trébuche lors de l’élection de miss france 2026

Une glissade maîtrisée en plein tableau « Égypte »

Tout s’est joué en une fraction de seconde lors du troisième tableau de la soirée, placé sous le signe de l’Égypte antique. Alors que les dix dernières miss en lice défilaient, Léa Chabrel a vu son pied se prendre dans la longue traîne de sa robe blanche au moment de quitter le proscenium.

Le résultat fut immédiat : une perte d’équilibre et un genou qui a touché le sol. Faut-il y voir un problème de revêtement ? Miss Normandie, passée juste avant elle, avait également manqué de chuter au même endroit. Quoi qu’il en soit, Léa n’a pas perdu sa composture. En bonne sportive, elle s’est relevée instantanément, gardant son sourire intact pour finir sa marche. Une réaction pleine de grâce qui n’a malheureusement pas suffi pour convaincre le jury de la propulser en demi-finale.

Volley et ostéopathie : un mental d’acier

Si Léa Chabrel a su rebondir aussi vite, c’est probablement grâce à son passé de sportive de haut niveau. Avant de fouler les podiums, la jeune femme de 24 ans a brillé sur les parquets de volley-ball. Elle pratique ce sport depuis l’âge de 7 ans et a même été sacrée championne de France. Elle évolue d’ailleurs toujours au sein du club de l’AS L’Union, près de Toulouse.

Mais Léa n’est pas qu’une sportive accomplie. C’est aussi une tête bien faite. Elle vient tout juste de terminer ses études d’ostéopathie et exerce déjà à son compte. Une vocation née de son envie de soigner et d’apporter du bien-être aux autres.

Elle a gardé cette rage-là, elle a tout mis en œuvre pour réussir dans ce concours.

Ces mots, prononcés par son père, résument bien l’état d’esprit de la jeune femme. Même si l’objectif du Top 12 n’a pas été atteint, sa détermination aura marqué les esprits de sa région.

Cinnamon rolls et Chihuahuas : le côté « hygge » de la Miss

Derrière l’écharpe et la blouse blanche de l’ostéopathe se cache une personnalité attachante et spontanée. Loin des paillettes, Léa Chabrel cultive des passions simples qui la rendent très accessible.

• La pâtisserie : Pour décompresser, rien de tel que de mettre la main à la pâte. Sa spécialité ? Les cookies et les cinnamon rolls, qu’elle adore cuisiner pour ses proches.
• Les animaux : C’est une amoureuse des chiens, et pas n’importe lesquels. Sa grand-mère tenait un élevage de chihuahuas. Si elle avoue que ce n’était pas sa race préférée au départ, vivre avec trente chiens à la maison l’a fait craquer. Elle est aujourd’hui l’heureuse propriétaire d’Irana, un chihuahua qu’elle a adopté à ses 15 ans.

Son engagement va également vers une cause très personnelle : la lutte contre la maladie d’Alzheimer, dont son grand-père est atteint. Un combat qu’elle continuera sans doute de porter, avec ou sans couronne.