Les métiers de la banque les mieux payés

Tu veux gagner ta vie confortablement tout en bossant dans un secteur qui bouge ? La banque coche pas mal de cases : c’est un monde où les salaires grimpent vite, surtout si tu t’orientes vers des fonctions techniques, financières ou stratégiques.
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Trader : le roi des marchés financiers

Un job sous adrénaline

Le trader achète et vend des actifs financiers en temps réel. Il travaille dans des salles de marché et doit prendre des décisions ultra rapides, en misant sur les tendances économiques. Sa mission ? Générer un max de profit pour la banque ou le fonds qui l’emploie.

Quel profil pour devenir trader ?

Il te faut un niveau bac+5, avec un master en finance, en mathématiques appliquées ou en ingénierie financière. Les écoles de commerce ou d’ingénieurs avec une spécialisation finance sont aussi une bonne voie.

Combien gagne un trader ?

Un junior peut espérer 60 000 à 80 000 € bruts par an. Mais avec quelques années d’expérience, un trader peut atteindre plus de 300 000 € annuels, surtout grâce aux bonus.

Banquier d’affaires : stratégie et gros deals

Un job de haute voltige

Le banquier d’affaires accompagne les grandes entreprises dans leurs projets financiers : fusions, acquisitions, introductions en bourse, etc. C’est un métier de conseil stratégique, qui demande rigueur et flair.

Formation et compétences

Un master en finance, en école de commerce ou à Sciences Po avec une spécialisation finance est souvent exigé. Tu dois avoir de solides bases en analyse financière, en modélisation et un très bon relationnel.

Le salaire du banquier d’affaires

En début de carrière, on tourne autour de 80 000 € bruts par an. Avec de l’expérience et un bon carnet d’adresses, certains banquiers dépassent largement les 200 000 €.

Actuaire : le pro des risques et des modèles

Un job analytique

L’actuaire est un expert des statistiques et des probabilités. Il modélise les risques pour anticiper l’impact d’événements futurs sur les finances d’une banque ou d’un assureur.

Le parcours pour devenir actuaire

Tu dois viser un bac+5, avec un diplôme spécialisé en actuariat ou un master en statistiques, mathématiques financières ou ingénierie du risque.

Un salaire qui progresse vite

Un jeune actuaire touche entre 45 000 et 60 000 € bruts par an. Les plus expérimentés peuvent atteindre plus de 100 000 €.

Gestionnaire de fortune : conseiller les plus riches

Une relation client premium

Le gestionnaire de fortune accompagne des clients très fortunés dans la gestion de leur patrimoine : placements, succession, fiscalité… Il faut donc savoir construire une relation de confiance sur le long terme.

Études recommandées

Les recruteurs cherchent des profils issus de masters en finance, gestion de patrimoine ou écoles de commerce avec spécialisation banque privée.

Combien gagne un gestionnaire de fortune ?

Un débutant peut toucher 80 000 € par an, et ceux qui excellent dans leur métier dépassent facilement les 200 000 €.

Responsable conformité : le gardien des règles

Un rôle essentiel en interne

Le responsable conformité, ou compliance officer, s’assure que la banque respecte les lois et les réglementations. Il lutte contre le blanchiment, les fraudes et gère les alertes réglementaires.

Quel diplôme pour travailler en conformité ?

Un master en droit bancaire, finance ou ingénierie financière est souvent requis. La rigueur, l’éthique et un bon sens du détail sont indispensables.

Combien ça rapporte ?

Le salaire tourne autour de 50 000 € pour un profil junior. Avec de l’expérience, on peut atteindre jusqu’à 120 000 € bruts par an.

Contrôleur financier : le pilote budgétaire

Des chiffres et des décisions

Le contrôleur financier suit de près les performances économiques de la banque. Il établit des reportings, supervise les budgets et conseille la direction.

Le bon parcours scolaire

Tu peux viser un DSCG, un master en comptabilité, ou une école de commerce avec une spécialisation en audit/contrôle de gestion.

Rémunération

En moyenne, un contrôleur financier gagne environ 60 000 €. Ce chiffre grimpe à 90 000 € voire plus après plusieurs années d’expérience.

Directeur administratif et financier (DAF) : le stratège de l’ombre

Un poste clé de l’entreprise

Le DAF supervise les finances, les budgets et les prévisions. Il accompagne la stratégie de l’entreprise en lien avec la direction générale.

Quel cursus ?

Master en gestion, finance, comptabilité, ou grande école de commerce. Il faut aussi plusieurs années d’expérience pour espérer accéder à ce poste.

Combien touche un DAF ?

Son salaire commence aux alentours de 80 000 €, mais peut grimper à plus de 150 000 € par an dans de grandes structures.

Risk manager : anticiper l’imprévisible

Prévenir plutôt que guérir

Le risk manager identifie et évalue tous les risques financiers, réglementaires ou opérationnels de la banque. Il propose ensuite des stratégies pour les éviter ou les limiter.

Formation conseillée

Master en finance, gestion des risques, école d’ingénieur ou cursus avec une spécialisation en risk management. Certaines certifications comme FRM ou PRM sont un vrai plus.

Niveau de salaire

Un profil junior démarre autour de 60 000 €. Un expert confirmé peut gagner jusqu’à 150 000 € bruts par an.

Consultant en fusion-acquisition : le maestro des transactions

Un rôle stratégique

Ce consultant aide les entreprises à se développer via des fusions, des rachats ou des cessions. Il évalue la valeur des sociétés et gère les négociations.

Études et prérequis

Il faut viser un bac+5 minimum : école d’ingénieur, Sciences Po ou école de commerce, avec une spécialisation en finance ou en stratégie.

Combien peut-on espérer ?

Le salaire médian est autour de 70 000 €, mais certains consultants expérimentés passent la barre des 150 000 € annuels.

Une banque en mutation

Avec la digitalisation et la réglementation en constante évolution, le secteur bancaire continue d’attirer les talents les plus ambitieux. Que tu sois matheux, stratège ou orienté relation client, tu peux viser un poste bien payé si tu t’en donnes les moyens. Le diplôme joue un rôle, mais les soft skills et la capacité à s’adapter sont de plus en plus valorisés.

« Ce n’est pas l’argent qui fait le banquier, mais la capacité à comprendre et à anticiper les flux. » – un gestionnaire de fortune

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