Ce qu’elle annonce (et où)
Fin août et début septembre, Kenza enchaîne messages et vidéos : d’abord l’idée de « devenir Dr BENCHRIF » dans un post très relayé, puis l’explication qu’elle fera finalement sa rentrée en L1 SVTC, une voie plus généraliste en biologie-chimie, qu’elle présente comme un « choix par dépit » mais cohérent avec son appétence pour la SVT.
« Ma rentrée c’est lundi 10 h… Parce que je n’ai jamais abandonné mes rêves. […] J’ai décidé de reprendre mes études pour devenir Dr BENCHRIF. »
Le message a été posté sur ses réseaux, relayé par la presse people et médias en ligne. Dans une autre séquence, elle parle d’une « nouvelle vie d’étudiante » et lâche : « l’influence, c’est du caca ».
Pourquoi une licence SVTC plutôt qu’une LAS/médecine tout de suite ?
Selon ses propres mots, elle aurait rencontré des obstacles administratifs et choisit la SVTC cette année, tout en gardant la médecine comme horizon de long terme. La SVTC permet de consolider le socle en biologie, chimie et méthodes de labo, avec la possibilité — selon l’université — de pivoter ensuite (santé, bio, environnement, enseignement, etc.). La prise de parole initiale évoquant « médecine » reste donc un cap, pas la voie immédiate.
Le contexte : retour en ligne, projet d’études, image à recoder
Après une année 2024–2025 marquée par un retrait médiatique et des procédures, Kenza avait annoncé « revenir mais pas comme avant » dans une vidéo de 35 minutes, avant d’enchaîner avec sa rentrée étudiante. Ce narratif de reconversion — études, routine, « soif d’apprendre » — participe d’un repositionnement public.
Ce qu’elle dit aimer (et ce qu’elle ne veut plus)
- Le cadre : des cours, un emploi du temps, des partiels.
- La SVT/Chimie : « mon domaine de prédilection », répète-t-elle.
- La distance avec certaines mécaniques de l’influence : « être Poupette, c’est de la crotte à côté [de devenir médecin] » — une manière cash de dire qu’elle cherche autre chose.
SVTC en pratique : à quoi ressemble la première année ?
La L1 SVTC (intitulé exact selon les universités) mêle biologie cellulaire, génétique, géosciences, chimie générale et compétences transverses (statistiques, méthodo, expression scientifique). C’est une licence scientifique exigeante, avec cours magistraux, TD/TP, et un rythme de révisions soutenu. Intérêt : garder des portes ouvertes vers de nombreux masters et concours passerelles selon résultats.
Ce que ça change (ou pas) pour sa communauté
Le switch « influence → études » ne veut pas forcément dire disparition des contenus, mais un recentrage : journée d’étudiante, organisation, motivation, coulisses des amphis, etc. C’est aussi un signal à son audience jeune : reprendre des études après 20 ans est possible, y compris après des accrocs. Les médias généralistes et people suivent le feuilleton, ce qui entretient le débat autour de sa crédibilité et de la faisabilité du projet santé.
Poupette Kenza, étudiante, refusée en LAS à la fac de Cholet, parle de la discrimination qu’elle subit :
— 75 Secondes 🗞️ (@75secondes) September 2, 2025
« vous allez avoir tiep de moi wallah » pic.twitter.com/sUmBtDQ3Yp