Les études des Miss France 2025

miss france 2025

Le concours Miss France, souvent perçu comme un simple événement de beauté, a évolué au fil des années pour mettre en lumière les parcours et les personnalités des candidates. En 2025, le profil des prétendantes illustre cette transformation. Diplômées de prestigieuses écoles, étudiantes en médecine ou encore entrepreneuses, les participantes incarnent une diversité impressionnante.

Lire aussi : qui sont les Miss France 2025 ?

Des parcours déjà accomplis parmi les candidates

Sur les 30 candidates à Miss France 2025, 13 ont déjà terminé leurs études. Ces jeunes femmes, issues de cursus variés, montrent que l’ambition et la réussite sont des qualités essentielles pour concourir.

Des diplômées de haut niveau

  • Miss Auvergne : Romane Agostinho, ostéopathe animalière, a suivi une licence de biologie avant de se spécialiser. Elle travaille désormais avec des animaux souffrant de troubles moteurs et comportementaux.
  • Miss Bourgogne : Clara Diry, diplômée de l’ESSCA, a obtenu un bachelor en management international. Elle se consacre pleinement au concours après ses études.
  • Miss Corse : Stella Vangioni, actrice dans Un si grand soleil, a troqué ses études de traduction pour intégrer une école de cinéma et poursuivre sa passion pour le théâtre.
  • Miss Guadeloupe : Moira André est titulaire d’un master en e-commerce et réseaux sociaux. Elle travaille comme conseillère numérique pour le conseil départemental de la Guadeloupe.
  • Miss Île-de-France : Julie Dupont, diplômée en journalisme, a travaillé pour des médias comme M6 et Webedia après avoir étudié en France et aux États-Unis.

Des entrepreneuses et professionnelles engagées

  • Miss Lorraine : Assia Roosz-Tomenti cumule deux activités professionnelles : agent immobilier au Luxembourg et gérante d’une entreprise de nettoyage.
  • Miss Martinique : Angélique Angarni-Filopon a exploré le secteur de l’aviation après un BTS tourisme. Elle est aujourd’hui hôtesse de l’air.
  • Miss Provence : Mégane Bertaud, assistante de gestion, envisage de se reconvertir dans un domaine lié à la protection des animaux.

Des étudiantes engagées dans des cursus variés

La majorité des candidates à Miss France 2025 poursuivent leurs études dans des domaines aussi diversifiés que le médical, le droit ou l’ingénierie.

Le secteur médical : une vocation pour plusieurs candidates

  • Miss Aquitaine : Laura Marque termine ses études en soins dentaires au Portugal.
  • Miss Limousin : Emma Grégoire, en 5e année de pharmacie, se forme à l’Université de Limoges.
  • Miss Poitou-Charentes : Charlie Bénard est en 7e année de médecine à l’Université de Rouen, avec pour objectif de devenir médecin généraliste.

Des ambitions juridiques, pédagogiques et technologiques

  • Miss Champagne-Ardenne : Louison Thevenin, étudiante en master 2 de droit fiscal, prépare l’examen du barreau pour devenir avocate.
  • Miss Guyane : Jade Fansonna poursuit un master MEEF pour devenir professeure des écoles, tout en effectuant un stage en maternelle.
  • Miss Rhône-Alpes : Alexcia Couly se spécialise en biotechnologies à l’ESTBB après avoir étudié les sciences.

Des formations diversifiées pour des projets originaux

  • Miss Bretagne : Marie Castel allie études en techniques de commercialisation et alternance chez Savéol. Elle prévoit de poursuivre en master.
  • Miss Nord-Pas-de-Calais : Sabah Aib, étudiante en droit, est en 2e année à l’Université Lille 2.
  • Miss Roussillon : Cassiopée Rimbaud suit une formation pour devenir éducatrice spécialisée.

Concilier études et préparation au concours : un défi de taille

Pour les candidates encore en études, la préparation au concours Miss France implique souvent une pause dans leur cursus. La pression des répétitions, des interviews et de l’entraînement intensif laisse peu de place pour les cours et les examens. Certaines, comme Miss Bourgogne, ont choisi une année de césure pour s’investir pleinement dans l’événement.

Les sacrifices nécessaires pour porter la couronne

L’exemple de Marine Lorphelin, Miss France 2013, illustre bien ce compromis. Alors étudiante en médecine, elle a dû mettre sa formation entre parenthèses pour se consacrer à ses responsabilités de Miss. Elle a toutefois repris ses études après son année de règne.

De même, Ève Gilles, Miss France 2024, a suspendu son cursus en MIASHS pour se concentrer sur son rôle de reine de beauté. Ces choix reflètent les exigences et les opportunités qu’offre le titre.

Des trajectoires qui inspirent

Les candidates à Miss France 2025 ne se contentent pas d’incarner la beauté : elles symbolisent l’intelligence, la détermination et la diversité des parcours académiques et professionnels. Qu’elles soient étudiantes ou déjà diplômées, elles inspirent par leur ambition et leur capacité à concilier des projets exigeants avec la compétition.

Actualités

A la recherche d'un établissement ?

Laissez-vous séduire par notre sélection des meilleures écoles près de chez vous !

Les formations à la une

Abonne toi à la Newsletter

Acquisition > Newsletter : Sidebar