Une révélation en cascade
Pendant des années, la vie privée du chorégraphe est restée un mystère impénétrable. Ce n’est qu’en mai 2021 que Kamel Ouali a entrouvert la porte de son intimité en annonçant la naissance de son premier fils, Rock. Soucieux de maîtriser son image face aux paparazzis, il avait alors partagé un cliché du bambin de dos. Bis repetita le 1er janvier 2024, lorsqu’il officialise l’arrivée de sa fille, prénommée France.
Mais le véritable coup de théâtre a eu lieu en juin 2025. Invité dans l’émission 50’Inside, Kamel Ouali a lâché une bombe : il n’a pas deux, mais bien quatre enfants. Aux côtés de Rock et France, deux autres bouts de chou, Dante et Ava, sont venus agrandir la famille dans la plus grande discrétion. L’artiste a confirmé cette incroyable fratrie aux âges très rapprochés : ses enfants ont respectivement un, deux, trois et quatre ans.
Un quotidien millimétré entre école et spectacle
Comment gère-t-on une carrière internationale et quatre enfants en bas âge ? Avec une organisation quasi militaire et, selon les dires du principal intéressé, « beaucoup d’amour ». Kamel Ouali se décrit comme un papa très présent, loin de l’image du père absent déléguant tout à des nounous. Il met un point d’honneur à effectuer les trajets d’école et à gérer le coucher :
Je les emmène à l’école, je vais les chercher et à 21 heures tout le monde fait dodo. Après, je peux bosser jusqu’à 2 heures du matin.
Ce rythme effréné ne semble pas effrayer celui qui avoue avoir toujours voulu être père. Il décrit cette relation comme « presque animale », ressentant le besoin viscéral de leur dire « je t’aime » quotidiennement.
Un « papa poule » protecteur et angoissé
Si la paternité est pour lui « la plus belle chose de sa vie », elle s’accompagne de son lot d’angoisses. Kamel Ouali confie être devenu un père inquiet, hanté par les faits divers, les enlèvements ou les agressions. Pour pallier ces craintes sans les transmettre à sa progéniture, il mise sur l’éducation et la prévention. Il explique leur apprendre très tôt la notion de consentement et le fait que « leur corps leur appartient ».
Côté éveil, pas question de les forcer à suivre ses traces. Si le chorégraphe les emmène voir des expositions depuis leur plus jeune âge (4-5 mois), il assure qu’il ne les poussera pas vers la danse, préférant les laisser trouver leur propre voie. Une approche bienveillante pour celui qui a transformé sa maison en un « joyeux bordel » rempli d’amour.








