1. Quand on fait semblant d’avoir fait exprès pour une faute d’orthographe
Un élève trouve une faute d’orthographe dans un exercice et l’enseignant réagit en disant :
Ah, c’est bien, j’avais fait exprès pour voir si vous suiviez !
Mais en réalité, on s’est juste complètement foiré et on a oublié de relire. Les profs aussi sont humains, non ?
2. Quand on évite de donner la fève au casse-pieds
Le jour de la galette des rois, on fait en sorte de ne pas donner la fève à ce petit casse-pieds qui ne cesse de perturber la classe. Et si on peut la donner à notre petit chouchou tout timide, c’est encore mieux ! C’est mal, mais bon…
3. Quand on pense « bien fait » quand un élève tombe de sa chaise
Il n’arrête pas de se balancer sur sa chaise, malgré les avertissements répétés. Et enfin, il tombe. Bien sûr, on ne le dit pas à voix haute, mais dans notre tête, on pense « bien fait »… C’est pas joli joli, mais c’est humain.
4. Quand on rêve de tuer les parents qui amènent leur enfant malade à l’école
On a tous connu ces moments où un parent nous amène son enfant avec 40°C de fièvre et tout sourire, en disant « Il voulait vraiment venir à l’école ». Mais c’est bien plus pour leur propre confort que pour l’enfant, et ça, ça énerve bien les instits !
5. Quand on jette les dessins d’élèves en cachette
Certains parents pensent que tous les dessins faits par leurs enfants doivent être conservés. Mais la réalité est que parfois, après une journée épuisante, on attend la fin de l’école pour les jeter discrètement à la poubelle. Et un jour, on a été grillé par un élève qui a remarqué. Oups.
6. Quand on fait des photocopies personnelles sur le dos de la classe
On ne va pas se mentir, parfois on fait des photocopies personnelles sur le compte de la classe, et on pique aussi quelques stylos rouges. Mais à part ça, les avantages matériels sont plutôt limités, alors on compense un peu comme on peut.
7. Quand on fait des concours de prénoms ridicules avec les collègues
A chaque rentrée, avec les autres instits, on organise des petits concours de prénoms ridicules. Entre les « Clitorine », les « Framboise », et autres noms improbables, c’est parfois dur de se départager. Ah, la créativité des parents !
8. Quand on n’a pas envie de faire de câlins aux élèves
Oui, les câlins sont souvent une preuve d’affection, mais quand un élève s’approche un peu trop près, c’est difficile de ne pas penser à “gastro”, “poux”, ou “conjonctivite”. Ces câlins ont un prix qu’on n’est pas toujours prêt à payer !
9. Quand un élève galère avec ses gants, mais on ne l’aide pas
Quand un élève lutte pour mettre ses gants, on se dit que ça lui apprendra la persévérance. En attendant, on le laisse galérer dans son coin, histoire de lui montrer que tout ne vient pas facilement. Mais dans le fond, c’est pour son bien, non ?
10. La tenue sur la photo de classe, une fausse image de nous
Cette photo de classe où on se présente sous notre meilleur jour… mais en réalité, on s’habille en mode « à l’arrache » pendant toute l’année. La photo, c’est pour que les parents croient qu’on est toujours impeccables. La réalité est un peu moins glamour.
11. Quand on n’écoute pas toujours les histoires des élèves
Non, ce n’est pas qu’on ne s’intéresse pas à leur vie, mais parfois entendre qu’ils ont mangé des crêpes chez Mamie-Doudou dimanche dernier… franchement, ça devient difficile à suivre. On écoute, mais parfois, on se perd dans les détails.
12. Quand un événement improbable nous donne matière à article
Un élève renverse son pot de colle sur toute la classe ? Parfait pour un tweet ou un top ! Les moments les plus improbables deviennent souvent une excellente source de contenu pour nos articles ou posts. Heureusement que la vie scolaire est pleine de surprises !
13. Quand on confisque des cartes Pokémon et qu’on s’y perd
Les cartes Pokémon volent souvent dans la classe. Parfois, on se perd un peu entre un Pikachu et un Bulbizarre. Mais, quand un élève s’en aperçoit, on nie en bloc. Qui pourrait prouver qu’un Pokémon a évolué entre-temps ?
14. Quand on compte les semaines jusqu’aux vacances
Les instits connaissent parfaitement combien de semaines séparent deux périodes de vacances. Ce n’est pas seulement pour la gestion des apprentissages, mais aussi pour se motiver à tenir le coup !
15. Le dernier jour de l’année scolaire, c’est émouvant
Oui, on pleure. On s’attache à ces petits monstres qui partent en vacances. C’est dur de les voir grandir, mais c’est aussi le signe qu’on a bien fait notre travail. Bon, après tout, c’est quand même la fin de l’année !
