Le 1er Mai, vers 16h30, à Bondy, une scène poignante a marqué les esprits : Pharel, un chaton âgé de seulement 4 mois et demi, a été découvert en proie à une douleur intense, peinant à se déplacer sur ses pattes avant tout en poussant des cris déchirants. Sensible à sa détresse, un passant a décidé de lui porter secours en le prenant avec lui. Il l’a ensuite confié à sa sœur, profondément bouleversée par l’état critique de Pharel, qui a immédiatement lancé un appel à l’aide sur Facebook pour trouver une solution pour lui.
Pharel a été immédiatement emmené chez le vétérinaire pour une évaluation d’urgence. Le bilan est accablant : Pharel souffre d’une fracture au niveau du col du fémur, sa queue est inerte, son anus est béant et rempli de sang et d’asticots. Sa vessie est tellement pleine qu’elle exerce une pression sur tous les organes environnants, et ses sphincters ne fonctionnent plus, nécessitant un soulagement manuel. Les lésions sur sa queue et ses pattes arrière indiquent un traumatisme sévère, mais le diagnostic le plus bouleversant est celui du vétérinaire : Pharel a été victime d’abus sexuels.
L’horreur de cet acte a suscité l’indignation à travers le pays, et une vague de solidarité s’est formée pour aider à soigner Pharel, un jeune animal qui aspire simplement à vivre. Malgré le dépôt d’une plainte contre X, les autorités ont minimisé l’affaire, arguant que cela n’aboutirait à rien. Cependant, la zoophilie est clairement condamnée par le Code Pénal en France.